lunes, 19 de marzo de 2018



    Manifestation des Saharaouis en Europe,  à l’occasion de la journée des Droits de l’Homme à Genève le 16/03/2018.  













 A : La conférence des Droits de l’Homme, HCDH.
                     Mr, Mme;
                   J’ai l’honneur de m’adresser personnellement  à votre Excellence pour vous demander de faire un petit geste,  qui pour nous,  les refugiés sahraouis pourrait soulager nos souffrances qui ont duré plus de 42 ans.
Nous demandons une intervention  de votre considérable organisation pour obliger non seulement le Maroc sinon le C.S. de l’ONU à défendre et surveiller la mise en œuvre des plus  élémentaires traités internationaux des Droits de l’Homme dans le monde entier, et surtout dans le Sahara Occidental, qui depuis longtemps nécessite votre soutien le plus urgent possible pour sauver ce qui reste de la jeune population dans les territoires occupés illégalement, sans le consentement de la population autochtone, qui est sévèrement touchée par la répression socio-économique de la politique de l’occupant, en plus de son illégalité  à niveau international.  
  Nous souhaitons  que les ambitions économiques ou politiques ne détournent pas les DD HH qui pourront être affaibli par des désirs passagers, qui ne travaillent pas l’être humain en général, mais des aspirations qui ne connaissent pas la valeur de l’être humain quel que soit son origine, sa couleur ou sa religion. Cette inégalité dans ce monde ne pourra être combattu que par une vraie  Cour Internationale de Justice,  au dessus du Conseil de Sécurité, qui dernièrement est entré dans une guerre  de faveur, d’alliance et de chantage au profit des multinationales qui deviennent les maîtresses du monde, et qui ne le conduisent que vers la fin de ces valeureux acquis dans le domaine humanitaire que vous avez essayé à mainte reprises de développer et  d’appliquer  (les  DD.HH.).

Malheureusement, on est en train de vivre une mystification de ces valeureux droits comme arme de pression pour aboutir à des buts vulgaires et éphémères qui ne mèneront ce monde qu’à la haine, la destruction et dernièrement la guerre sous des prétextes de défendre ces même droits en détruisant des peuples, des villes entières, des régions et peut être  même la planète.        
 L’abus continue des principes énoncés dans  la charte fondatrice par le Maroc durant tout ce temps, nous démontre l’absence de cette charte ou la difficulté de son application, qui devait être un guide pour ce monde cruel, aveugle et assoiffé par l’obsession de tout avoir, de tout posséder, sauvagement et même illégalement.

Nous exhortons l’ONU, l’UA, l’UE, les USA,  le CS, et surtout la France, d’agir pour imposer le droit  humain, qu’elle  même avait conçu, dans le monde et  dans les territoires occupés par le  Maroc, violant  couramment  le droit du peuple sahraoui à l’encontre des  femmes, des enfants et des personnes âgées, sans oublier le pillage incessant des ressources naturelles sahraouies depuis plus de quatre décennies, et d’appliquer les résolutions onusiennes afin que le peuple sahraoui puisse exercer son droit légitime, à la vie, la liberté et  à l’autodétermination, comme tout le monde. 
Excellence,  rappelons  aux états fondateurs, « que  le droit à la liberté d’expression de toutes les personnes indépendamment  de leur statut migratoire » devait être  identique en France, en Amérique, en Chine, au Sahara,  comme  dans le monde entier, instant á vos gouvernements, qui aspirent à  intégrer au sein du Conseil des Droits Humains des Nations Unies.,  en permettant que le peuple sahraoui puisse exercer son droit à l’autodétermination sur son territoire (le dernier pays africain encore occupé), et  faire connaître à votre Excellence, la grave situation  des Droits Humains dans les territoires occupés  du   Sahara Occidental, contrairement à votre  la Charte fondatrice de l’ONU.
Si « Tout individu a le droit à la vie, à la liberté et  la sécurité de sa personne.  Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants. Nul ne peut être détenu arbitrairement,  détenu ou exilé. Toute personne a le droit  à la liberté de  réunion et de l’association pacifiques. Toute personne a le droit à  un recours effectif devant un tribunal… et  ainsi de suite jusqu’à 30 articles qui composent la Déclaration Universelle des Droits Humains proclamée par l’Assemblée Générale des Nations Unies, que ses Etats membres se compromettent à respecter. »…
Rappelons que la répression continue  dans les territoires occupés du Sahara Occidental, où la Mission des Nations Unies pour le référendum (MINURSO) n’a pas entre ses tâches la vigilance des DD.HH., ne pouvant pas appliquer la fonction qui lui a été destinée,  grâce au veto permanent de la France, précisément le pays dont la capitale, Paris, où s’est proclamé le 10 décembre 1948 la Déclaration Universelle des Droits Humains.

Si les Droits Humains sont maintenant changés par les intérêts économiques des plus puissants pays qui soit-disons, gèrent le monde et veillent pour sa sécurité, où iront- nous ?, l’hypocrisie et la gourmandise n’iront  jamais à cheval avec les lois,  les principes et les fondements orgueilleux annoncés pour le monde entier,  et doivent s’appliquer aussi pour  les pauvres.
Souhaitons que les intérêts économiques éphémères ne  continuent pas à désorienter ou voiler  les Droits Humains comme cela c’est produit jusqu’à l’instant au profit d’un  Maroc, violant le droit international  pour son occupation illégal à un territoire considéré non autonome par le Conseil de Sécurité de l’ONU et par le monde entier et enfin, dernièrement, la CJEU.
Des Sahraouis privés de leur droit légitime, arraché depuis des décennies, devant toute l’ONU, dépouillés de leur  liberté d’expression   (autodétermination du peuple sahraoui) se manifestent aujourd’hui pour démontrer une énième fois que ces droits n’existent que pour les forts et que leur application doit être plus qu’urgente, car la vie des pauvres innocents en dépend.  
Liberté, égalité et justice pour tous  les êtres humains.
                                                     Le Militant Lahaye (surnom depuis 1974).
                 


sábado, 10 de marzo de 2018


       EL  ABUSO.  (         صام عام و افطر اعل اجرادة  ).

Los rumores o la propaganda marroquíes está intentando perturbar el esfuerzo del emisario de la ONU, para desviarlo de su trayectoria a sus fines expansionistas, quiere demostrar que el problema está entre Argelia y él, pero no sabe que las cartas ya no le favorecen y que la ONU ya ni siquiera va a discutir su tesis “ la autonomía”, está intentando barajar una opción para retrasar las negociaciones mientras encuentra un plan viable para demostrar al emisario su intención en negociar, pero suavizando los requisitos para tener más tiempo.
De todos modos, hemos dejado  a Marruecos mucho tiempo y le dimos muchísimas oportunidades durante cuatro décadas, ahora ya no hay más que discutir, queremos lo nuestro sin más (el Sahara), le dimos años de nuestras riquezas y en vez de tomar la oportunidad y se contenta de una promesa nuestra,  en lugar de una demagogia que no  convence a nadie, dejémoslo  a parte para que aprenda, y de nuestra parte tenemos que pedirle que pague todo lo que ha robado además del retraso y las miserias que sufrió el pueblo saharaui en toda esta temporada.
Lo que nos faltaba, que otorguemos a Marruecos nuestras riquezas en cambio de un acuerdo, que seguramente se barajara en los próximos días, ya que los puntos de vista están más que distanciados ver contrarios, o que discutiremos  compartir la administración de nuestro territorio para que nos aglutinan  los insaciables colonos marroquíes, o que nos imponen aceptar a inmigrantes  participen en la votación, ya que han sido implantados adrede por su gobierno para que sea un hecho consumado,  esto sí que es una  injusticia para complacer a otros que no tienen nada que perder.
 El emisario de la  ONU, discute como llegar a un acercamiento de los puntos de vista para  suavizar los obstáculos pendientes y conseguir así un encuentro de las dos partes, cosa casi imposible, pero difícil, debido a la intransigencia de Marruecos, y la debilidad de la aplicación de las resoluciones de la ONU, ya que lógicamente  tenía que salir del territorio que ocupo ilegalmente sin más según todas las resoluciones internacionales (C.I.J., C.S., ONU, UA, UE, USA,  HCDH, FIH, etc…).
Marruecos es el culpable de toda la miseria  que ocurrió a los Saharauis desde más de 42 años, y el Sahara jamás ha sido bajo su soberanía, jurídicamente, el Sahara Occidental, según la UA, la ONU, la UE, CIJ y todas las instituciones internacionales no reconocen a Marruecos ni como administrador, no olvidemos que tampoco hay países  que reconozcan la inclusión del Sahara Occidental como territorio suyo.
Hemos podido llegar a ese punto y seguramente podríamos llegar a más allá, mientras somos unidos  y obramos con justicia y legalidad, nadie nos puede vencer, mientras tenemos nuestra fe y nuestra voluntad ganaremos como lo hemos  elaborado anteriormente.

domingo, 18 de febrero de 2018

LA TRAICION.
La traición normalmente es conocida por la falta  del cumplimiento de una palabra o deber, aquí la vamos a tratar del punto de vista de las promesas y  la  envergadura del fallo cometido por la persona o por un grupo determinado. La fidelidad, vender su prójimo, delito...
La traición debe definirse en grados debido a su sus formas, al pasar sus límites se puede definir en varios niveles, por ejemplo: grave, medio, leve, o mejor dicho; alta, media, pequeña, desde aquí podemos decir que todos hemos participado en ese vil acto de cerca o de lejos, bien que todas las traiciones son repugnantes. 
Cuanto más  se aleja de la promesa, más es grande el grado de la traición, y más se profundice en la infidelidad   y por lo tanto se  abren las puertas de  la traición que pueden abarcar muchos dominios morales o materiales:  social, económico, militar, diplomático, etc…
Normalmente, podemos definirla por,  al incumplir  una promesa entre dos personas o varias, en lo que concierne la base del acuerdo conocido entre las partes, por ejemplo, al no respetar el modo de aplicación de dichas reglas, cada cual normalmente lo puede ver a su manera, pero lo lógico es que están todos de acuerdo en el contenido y la forma de su aplicación, ya que deberían ser metódicos en su aplicación,  pero nosotros lo que nos importa es la manera de seguir fiel a los principios de los saharauis, los de su revolución del 20 de Mayo por la cual se constituyo el FPolisario para liberar el Sahara Occidental, abarcando así el consentimiento de la populación del Sahara.
El rango en la pirámide o el puesto que ocupa cada uno no quiere decir su fidelidad absoluta a la revolución, debe ser normalmente así, pero los tiempos engañan como le hemos vivido no solamente aquí sino en todas las guerras, hubieron traidores de los bandos opuestos, hasta hoy en día se ven muchísimos y casi podemos decir que es corriente   ya que es una cuestión diaria en las noticias de todas las informaciones del mundo.
No se puede distinguir quién es el traidor hasta el suceso del acto, pasar al otro bando o el hecho en si mismo que demuestre su culpabilidad, y  normalmente  el tiempo es el único barema que demuestra esta fidelidad además de la entrega de la persona, tampoco se le puede asignar  una lógica porque no tiene color ni origen.
En general, en nuestro caso, se suele hacer por dinero, por ira o por una injusticia, y raramente por patriotismo. Después de haber visto unos casos no lejanos, se puede decir que han sido a base de materialismo (egoísmo), ilegalidades e injusticias, en ese caso la persona no reflexiona, y algunas veces se ciega y puede llegar a un crimen o delito que no estaba previsto y lo más fácil, es abandonar o irse al enemigo, creyendo que por lo menos morir en su tierra aunque este  ocupada, (sabiendo que en nuestra sociedad  aún no existe esta forma tan cruel de matar por ira).
La traición, es más atroz en cuando el causante de la traición, la tenia premeditada, quiere decir que, el dirigente empuja el subordinado en largarse al enemigo (escandalizarlo,  marginarlo o cerrarle las puertas del mérito por celos o lo que sea), eso sí que es muy peligroso y se puede considerar el peor acto de traición que se puede imaginar,  obliga la otra persona a largarse al enemigo, aquí el causante es más traidor  que el  mismísimo traidor (alta traición).
Hay algunos que pretenden ser muy honrados, trabajando diariamente con nosotros, y hasta participando más que nosotros en las tareas, percibidos por todo el mundo, para camuflar sus  intenciones,  pero son peores que los que se han ido al otro bando, porque, por  la sencilla razón, que los que se han ido al enemigo, ( nos hemos salvado de ellos, ya no les tememos), pero los que siguen aquí, engañándonos, sacando provecho hasta el máximum con toda la discreción posible, y siguen haciéndonos daño desde el interior, son más que víboras.
-Citare algunas de las formas más corrientes que nos acompañaron durante nuestra trayectoria:
-Cuando la persona  tenia deliberadamente traicionar sin más.
-Cuando las nominaciones son ilegales, tribales o injustas.
-Cuando la persona traiciona solamente en cuando lo quiten unas cualidades que disponía de ellas y se va al enemigo.    
-Cuando  la persona aprovecha los fallos de la revolución para difamar los objetivos o dificultarlos sembrando así la incertidumbre en la población para disolver la unidad nacional para hacer más daño.
-Cuando se aprovecha su puesto de mando para lucrarse del bien general y menos cuando se trata de donaciones para los refugiados.
-Cuando se aprovecha de su autoridad, generando riquezas no solamente para él sino  para sus familiares y sus peones que le trabajan, o para fines tribales o separatistas.
-Cuando se cambian los principios con unos  fines previstos o deliberados.
-Cuando la tiene un responsable como una carta de presión para conseguir sus fines.
-Cuando se cambia el objetivo por él que cayeron los héroes de la revolución sin el consentimiento general de la población.
-Cuando se prescinde de los derechos de los más meritorios.
-Cuando se abandona la causa sin motivo lógico, sin alterar a la estructura o la seguridad del entorno, aunque sea más leve.
-Cuando se abstenga la persona y acepta dichos cambios sin discutirlos o criticarlos o frenarlos según sus posibilidades, bien que son de grados muy diferentes, etc…

Si todos estos casos son considerados como alta traición, quiere decir que somos todos traidores de la causa saharaui, y por eso, no hemos avanzado en la lucha para lograr el objetivo que hemos puesto en las primeras albas de la revolución. Si nos consideramos traidores, y seguimos haciendo lo mismo, quiere decir que pasamos a la deslealtad para  la liberación de nuestra patria y dificultamos el retorno de nuestro pueblo a su tierra natal.
Esto no puede  ser el fruto de la suerte, sino  el disimulo o la falsedad de nuestra entrega a la revolución y sobretodo de los que tienen el timón del barco, que se ocuparon de sus cosas personales en vez de las generales, por eso se mezclan los objetivos y se dedican más a sus problemas personales abandonando así el objetivo principal, pero sin dejarlo para encubrir sus intenciones lucrativas, cayendo así, en la alta traición del pueblo, adrede o involuntariamente, da lo mismo.
Hacer caso omiso también es más que traición, y dejarlo como esta, será la más grande de las traiciones que puede existir, con respeto  a las vidas de los heroicos combatientes que lo dieron todo por la patria, y los pobres militantes que se volcaron desde el primer instante en el respaldo y el sostén  de la revolución con lo más caro y precioso que tenían.
La única solución aquí, precisamente en este momento,  es la crítica y la autocritica que podría salvarnos del abismo en que nos hemos metido, porque no podemos dar marcha atrás, pero si,  podemos rectificar y remediar lo sucedido y acatar las irregularidades desde la raíz sabiendo de antemano que nos costaría  la destitución de los promotores y por supuesto el desacuerdo y  seguramente la huida de algunos presuntos miembros que no pensaban sino en aglutinar nuestras limosnas a sus cuentas personales, viviendo a costa de los pobres ciudadanos. Cuanto más rápido nos separemos de ellos, mejor será para nosotros, porque serán siempre un bulto de más y un obstáculo para todas las iniciativas que tomaremos en adelante.
Además de ser una presa fácil que nos puede fallar en el momento inesperado, no podemos dejar nuestro destino en las manos de esas personas,  porque lo venderían por unos dólares, les da igual las promesas, cuando ya obraron en contra de los principios, les será más que fácil vender el honor, así que hay que ser más contundente  en ese tema y salvar lo que queda de nuestra cosecha, ahora más que nunca.   
Existen muchas maneras de caer en esa maldita tentación, de grado alto o leve, siempre depende de la posición ejercida por la persona (función)  y de su continuidad en seguir en el mismo objetivo, mientras no altera en la trayectoria o en su contenido fundamental, se puede aceptar,  nada más que por una simple critica para remediar dicha falta, pero casi siempre es muy difícil encontrar  la persona o el coraje de poder abordar y rectificar personalmente o colectivamente ese fallo.
Pido al Dios, todo poderoso, que nos  libra de esas personas que no pretenden sino lucrarse, fragmentarnos o dispersarnos para llegar a unos fines personales que no trabajan el pueblo, y que  nos de la voluntad de reunir nuestra unión nacional para consolidar nuestra lucha y sacar el enemigo de nuestro Sahara tan querido, por los valientes que cayeron, defendiendo una causa tan  legal como humanitaria.
                        Toda la patria o el martirio.
                                               El Militante Lahaye.              


La prensa española y la marroquí no se han hecho eco de esta noticia: Declaración del Ministro sueco de Asuntos Rurales, Sven-Erik Bucht, con motivo del Acuerdo de Pesca UE-Marruecos

§   NO al Acuerdo de Pesca UE-Marruecos. (Diseño Tlaxcala).
SáharaOccidental
EspaciosEuropeos (17/2/2018)
El pasado 14 de febrero, Suecia comunicó al 
Coreper [Comité de Representantes Permanentes de la UE], que tiene la intención de votar no a la propuesta de dar a la Comisión de la UE un mandato para abrir negociaciones sobre un nuevo protocolo del Acuerdo Pesquero de la UE con Marruecos.
Ello se debe a que Suecia considera que el mandato propuesto no cumple los requisitos del Derecho Internacional.
Esta posición es idéntica a la posición anterior de Suecia en esta cuestión. En 2012, Suecia también votó en contra de dar a la Comisión Europea un mandato de negociación para un nuevo protocolo.
N. delaR:
La noticia ha sido facilitada a los medios de comunicación por Maria Soläng, Secretaria de Prensa del Ministro de Asuntos Rurales, Sven-Erik Bucht.
Uttalande av landsbygdsminister Sven-Erik Bucht med anledning av EU:s fiskepartnerskapsavtal med Marocko.

Yahoo, por ejemplo, ha recogida esa declaración. Nosotros la hemos conocido gracias a Luis Portillo Pasqual de Riquelme, que nos la ha traducido.
Publicado por Espacios Europeos.

jueves, 11 de enero de 2018


El abogado general de la UE no ve válido con Marruecos para el Sáhara Occidental el acuerdo de pesca.

·         BEATRIZ RÍOS
o    Bruselas
·         10 ENE. 2018 10:46
Pescadores en El Aaiun, en el Sáhara Occidental. CARLOS GARCÍA POZO
El letrado alega que el acuerdo vulnera el derecho a la autodeterminación del pueblo saharaui.
Según el abogado general de la Unión Europea Melchior Wathelet, el acuerdo de colaboración en el sector pesquero, alcanzado por Marruecos y la UE en 2006, y que se aplica al territorio compuesto por el Sáhara Occidental y sus aguas adyacentes, no es válido pues vulnera el derecho del pueblo saharaui a disponer de sí mismo y falla al garantizar que los beneficios de explotación redunden en la población de dicho territorio.
El abogado general considera que "hasta la fecha, el pueblo del Sáhara Occidental se ha visto privado incluso de la ocasión de ejercer el derecho a la libre determinación en las condiciones previstas por la Asamblea General de las Naciones Unidas", al ser anexionado por Marruecos. Dado que el acuerdo de pesca celebrado por Marruecos incluye el Sáhara Occidental, del que se considera soberano, éste vulnera el derecho a la autodeterminación del pueblo saharaui. Y por lo tanto, "la explotación pesquera, por parte de la Unión, de las aguas adyacentes al Sáhara Occidental", asegura Wathelet, "no respeta el derecho a la libre determinación del pueblo saharaui".
El letrado apunta también que dado que la mayor parte de la explotación de las aguas que prevé el tratado tiene lugar precisamente en las costas del Sáhara Occidental, la contrapartida financiera debería recaer casi en exclusiva en el pueblo saharaui. Sin embargo, "el Acuerdo de pesca no recoge las garantías jurídicas que son necesarias para que la explotación pesquera redunde en beneficio del pueblo del Sáhara Occidental". Por lo tanto, según Wathelet, el acuerdo de pesca no respeta "el principio de soberanía permanente sobre los recursos naturales".

Críticas a la posición europea
No es la primera vez que el Abogado General Melchior Wathelet se pronuncia sobre este asunto. Ya en 2016, una sentencia del Tribunal de Justicia de la UE que siguió a sus conclusiones, determinó que el Acuerdo de Liberalización celebrado en 2012 con Marruecos no podía aplicarse al Sáhara

domingo, 7 de enero de 2018

                                                  LOS  ETERNOS ENGAÑOS.


                                   
Desde cuando os fijáis en lo que desea el pueblo, el pueblo desea su  retorno lo antes posible a su tierra natal por cualquier precio, y ha sido demostrado desde el primer alba de la revolución, pero como siempre las condiciones y situaciones vienen a obstaculizar ese deseo.
Las circunstancias exigidas por la naturaleza, no tienen combate ni se pueden combatir, pero las artificiales, montadas para fines lucrativos,  tampoco se pueden combatir por engaños y mentiras, esto requiere una voluntad nacionalista profunda de verdad, por lo que quiere decir que no tenemos solución de aquí en adelante.
Hemos dejado al enemigo todo este tiempo tan importante de nuestras vidas en la nada para arrodillarnos a un Marrueco herido desde el primer momento, pero siempre le damos el tiempo de curar sus heridas, y nosotros como siempre  nos hundimos en nuestras miserias.
Desde los primeros  encuentros con el enemigo marroquí bajo los auspicios de la ONU para encontrar una solución, han sido más que un fracaso, debido a nuestra buena fe, dejando terreno en todas las charlas, parece que nos están obligando poco a poco hasta ceder el Sahara a Marruecos, por lo que pedimos que ponen un límite para los encuentros  y una fecha para el referéndum.  
Apostar por la Minurso el primer día era  una apuesta más que perdedora, porque no contemplo de ninguna manera los derechos humanos y durante los 25 años no han avanzado en nada en cuanto a la celebración  de un pequeño referéndum, que no puede abarcar más de 100.000 persona que deben de tener derecho según el censo español de los 74 , habían solamente censados 75.000 personas, todo lo demás, son unos retrasos a favor de la ocupación, aprovechándose de chupar nuestras riquezas hasta el final.
La O.N.U. nunca ha resuelto un problema y sobre todo si es en África, por  que les interesa que nos matemos, las leyes universales de la humanidad se aplican solamente cuando se trata de europeos, los demás deben seguir en la miseria hasta nunca. Así que la única forma de liberar el Sahara, no es estar bajo unos acuerdos que no trabajan el pueblo Saharaui, ni de cerca  ni de lejos, por lo cual hay que poner fin al incesable acuerdo del cese el fuego, y buscar otras alternativas que pueden obligar a encontrar una solución viable para nuestro pueblo.
La solución ha de poner a Marruecos delante una realidad y sobre todo la económica, no dejarle disfrutar de nuestras riquezas a su antojo, ya que la ONU no  ha tomado en consideración  las posibilidades de abordar ese tema tan importante que le da siempre un respiro  además de la droga, sin olvidar las represiones en los territorios ocupados, los derechos humanos (que no existen para los débiles), solo a los Saharauis y nada más que los Saharauis honrados  les importa que llegue un fin para este conflicto.
Las reglas de la naturaleza no se pueden cambiar, lo que se arrebató por la fuerza, solo se puede  conquistar por la fuerza, pero la política lo está pintando a su manera fracasada:
- Una Minurso que vino para celebrar un referéndum en los cinco años, y  son  ya 25 años sin avance palpable.
- Un cese el fuego tonto, interminable, para deshacer la fuerza del FPolisario y sembrar el caos  en la población de los campamentos (unidad nacional).
-Un saqueo eterno  de Marruecos a nuestras riquezas, no siente la crisis, y aboga a mantener sus tropas por los beneficios del Sahara y mantener el ejército y los colones fuera de su reino creándoles un aire de sostén político e económico fuera de su reino.
Entonces la política Saharaui debe elegir de ahora en adelante lo que convenga al pueblo Saharaui en general, y no a un grupo de aprovechados que no le importa ya el Sahara, hay que ser tan ciego  para ver  el recorrido  y la evaluación de los acontecimientos que nos imponen, 42 años no son suficientes para volver, pero le dimos a Marruecos un suspiro de 25 años que las aprovecho muy bien para su ocupación ilegal del territorio, ya no tenemos tanta paciencia para seguir o esperar que se aproximen los puntos de vista distanciados por no decir opuestos  de los dos beligerantes.
Hay que aprovechar la ocasión en su momento, y no dejarse llevar por unas políticas viejas,  entregadas y pasadas, basadas en la buena fe, que ya no existe, delante de un adversario conocido por sus engaños o trampas en el recorrido de su historia conocida de sobra por los vecinos y por todo el mundo. 
Pero hace falta gente decidida y sacrificada solo para defender la idea de los que cayeron en los combates, la de los que vinieron de toda parte para liberar un Sahara, la de los  viejos, mujeres y  niños que sueñan por un regreso valeroso, definitivo y próximo a su tierra en vez de estancarse en los campamentos de refugiados.
                        Toda la patria o el martirio.
                                   El Militante Lahaye.